Télécharger l’étude Biblique

Au cours de notre histoire, il y a eu un changement radical dans l’ensemble des croyances religieuses nationales. En substance, l’Amérique est en train de malheureusement changer d’orientation :  de la chrétienté à la religion de l’environnementalisme radical. Nous sommes en train d’échanger l’adoration du Créateur contre l’adoration de sa création. C’est une erreur énorme et terrible, avec des conséquences extrêmes, et cela présage une catastrophe.

Ce sont les vérités intemporelles de Genèse 1: 26-31 qui ont informé, guidé et dominé la pensée américaine dans le passé. Ne faites pas d’erreurs ; ce sont nos ancrages historiques, notre compréhension culturelle et notre obéissance à ce que Dieu dit dans ce passage qui est à la base de la grandeur de l’Amérique.

Ma prière est que cette étude biblique vous fournisse une compréhension claire et perspicace – la capacité d’identifier de manière convaincante les différences – entre ces deux visions du monde en duel.  Bonne lecture, mon ami !

 

I.      INTRODUCTION

Au cours des six dernières années, les défenseurs du réchauffement climatique ont soutenu que la sécheresse en Californie est un précurseur des choses à venir. Mais ils abandonnent cette alarme et sautent de l’autre côté dès que La Californie connaît une année extrêmement humide.

En 2017, les fortes pluies et le ruissellement ont rempli tous les réservoirs qui ont provoqué le déversement des eaux dans l’océan Pacifique à un rythme si vorace que le déversoir du barrage d’Oroville était sérieusement endommagé. Dans le titre d’un  journal de San Francisco, qui témoignait de ce volte-face  de pensée, on pouvait  lire : « La Californie est-elle en retard pour une  inondation bibliquement  catastrophique? L’histoire dit que cela pourrait l’être.

Je trouve ces changements radicaux et brusques d’opinions sur les théories du climat à la fois destructeurs pour la crédibilité et étonnamment amusants !

Ce qui semble passé largement inaperçu, c’est que le changement à 180 degrés des personnes qui prédisent une fin du monde liée au changement climatique,  contredit  ce que la Parole de Dieu déclare à cet égard. En termes de sécheresse globale, dit Dieu, … car il fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons, et il fait pleuvoir sur les justes et sur les injustes.  (Matthieu 5:45). Remarquez que la grâce commune de Dieu fait venir la pluie même sur les injustes ! Et dans Genèse 9:11, Dieu dit aux théoriciens du déluge, «J’établis mon alliance avec toi; et toute chair ne sera plus jamais coupée par l’eau du déluge, et là non plus être un déluge pour détruire la terre. “J’établis mon alliance avec vous : aucune chair ne sera plus exterminée par les eaux du déluge, et il n’y aura plus de déluge pour détruire la terre. ”Dans le sermon sur la montagne, Dieu promet de toujours nous envoyer la pluie, et après le déluge de Noé, Dieu a promis ne plus le faire.

D’autres passages bibliques connexes servent à contredire l‘idée selon laquelle l’homme seul peut détruire son habitat terrestre. Par exemple, Psaume 104: 30 dit, Tu envoies ton souffle: ils sont créés, tu renouvelles la face de la terre.Dieu dit qu’il renouvellera continuellement la face de la terre jusqu’à ce qu’il forme un nouveau  ciel et une nouvelle terre à la fin des temps (Apo. 21: 1).

Au cours des milliers d’années d’histoire climatique, depuis que ces mots ont été enregistrés, la véracité des promesses de Dieu s’est avérée fiable. Alors, qui devrions-nous faire confiance ?

PENSER QUE L’HOMME PEUT MODIFIER L’ÉCOSYSTÈME DE LA TERRE- QUAND DIEU DEMEURE OMNISCIENT, OMNIPRÉSENT ET OMNIPOTENT DANS LES AFFAIRES COURANTES DE L’HOMME – C’EST PLUS QU’ÉPOUSER SUBTILEMENT UNE VISION ULTRA-HUBRISTIQUE, SÉCULAIRE DU MONDE PAR RAPPORT À LA SUPRÉMATIE ET L’​​IMPORTANCE DE L’HOMME.

Il s’ensuit que nous pouvons tous être rassurés et totalement compter sur les promesses de Dieu mentionnées ci-dessus ayant trait à sa capacité et à sa volonté de préserver l’écosystème de notre monde.

Quelles glorieuses vérités Dieu nous a données ! Elles heurtent de plein fouet le visage des théoriciens séculiers à la mode qui essaient de nous faire peur avec le réchauffement climatique, ou maintenant, soudainement, l’inondation !

Ce qui distingue l’Amérique des autres nations  du monde a été la forte présupposition de ses innovateurs: pour gérer les ressources naturelles du pays de manière à produire une valeur ajoutée  et  de profiter ainsi aux autres. Cette prémisse est basée sur un état d’esprit qui suppose à la fois l’utilité des ressources naturelles et la valeur qu’elles possèdent pour aider les autres – les choses mêmes que Dieu chérit quand il a créé le monde dans lequel nous vivons. Notez ces deux aspects de notre passage d’étude de cette semaine, Genèse 1: 26-31:

Puis Dieu dit : Faisons l’homme à notre image, selon notre ressemblance, et qu’il domine sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, sur le bétail, sur toute la terre, et sur tous les reptiles qui rampent sur la terre. Dieu créa l’homme à son image, il le créa à l’image de Dieu, il créa l’homme et la femme. Dieu les bénit, et Dieu leur dit : Soyez féconds, multipliez, remplissez la terre, et l’assujettissez ; et dominez sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, et sur tout animal qui se meut sur la terre. Et Dieu dit : Voici, je vous donne toute herbe portant de la semence et qui est à la surface de toute la terre, et tout arbre ayant en lui du fruit d’arbre et portant de la semence : ce sera votre nourriture. Et à tout animal de la terre, à tout oiseau du ciel, et à tout ce qui se meut sur la terre, ayant en soi un souffle de vie, je donne toute herbe verte pour nourriture. Et cela fut ainsi. Dieu vit tout ce qu’il avait fait et voici, cela était très bon. Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut le sixième jour.

Le psalmiste dans le passage du chapitre 8 : 4-8 renforce l’idée que Dieu a donné à l’homme la domination sur sa création :

Quand je contemple les cieux, ouvrage de tes mains, lune et les étoiles que tu as créées : Qu’est-ce que l’homme, pour que tu te souviennes de lui ? Le fils de l’homme, pour que tu prennes garde à lui ? Tu l’as fait de peu inférieur à Dieu, tu l’as couronné de gloire et de magnificence. Tu lui as donné la domination sur les œuvres de tes mains, Tu as tout mis sous ses pieds, Les brebis comme les bœufs, les animaux des champs,

 Le psalmiste renforce l’idée que l’homme a été créé à l’image de Dieu et a reçu l’ordre d’exercer la domination sur toute la terre, et si, ce n’est pas spécifiquement indiqué dans ces passages, ailleurs dans l’Écriture, c’est l’idée de l’homme vivant pour aider les autres (cf. Philippiens 2).

LES ÉCRITURES ENSEIGNENT QUE L’HOMME EST LE POINT CULMINANT DES DESSEINS ET DE LA CRÉATION DE DIEU TANDISQUE, LE BUT ET LA CROYANCE PRINCIPAL DE L’ENVIRONNEMENTALISME RADICAL SONT LAPRÉSERVATION DE LA TERRE

Inévitablement, ces visions du monde s’entrechoquent. Ce qui est certainement inhérente à la vision chrétienne dans la sphère des ressources c’est l’idée de bonne gouvernance des ressources naturelles, mais ce n’est pas suffisant pour les écologistes radicaux, ceux qui par essence idolâtrent et rendent un certain culte à la terre ; leur revendication exige de freiner le progrès et l’expansion de l’humanité.  Dans leur conception, la terre serait le plus grand patrimoine, et non l’homme ; et Dieu serait pour eux un mythe, au mieux inoffensif, mais potentiellement dangereux. Ne faites pas d’erreur ; il y a une grande différence entre les conservateurs laïques et les écologistes chrétiens.

Un exemple de cette différence est le débat autour de la question de l’eau dans l’État de Californie  (Permettez-moi, puisque je viens de la Californie, d’user de liberté de me servir du problème californien comme illustration dans  cette étude, d’autant que  je connais intimement mon État à cet égard. J’ai aussi un diplôme en Écosystèmes de l’UCLA). Dieu a béni la Californie avec une    quantité moyenne annuelle des précipitations de plus de 246 milliards de mètres cube d’eau douce. En moyenne, c’est assez d’eau pour alimenter les besoins de 400 millions de ménages par année – soit environ 1,2 milliards de personnes, il y a suffisamment d’eau pour tous les besoins de l’Inde ou de la Chine. De cet énorme approvisionne- ment, seulement 24 milliards de mètres cubes sont actuellement utilisés, le reste est perdu – s’il n’est pas absorbé dans le sol, toute cette eau reflue dans l’océan Pacifique parce que les écologistes refusent de permettre la construction des lacs de stockage supplémentaires. Et sur les 24 milliards de mètres cubes capturés, 15 milliards servent à l’agriculture et seulement 5 milliards sont à usage résidentiel !¹ En d’autres termes, seulement 2,5% de l’approvisionnement en eau douce en Californie sont directement utilisés par les ménages – et pourtant il y a des protestations pour limiter l’utilisation domestique d’eau douce de pluie !  Afin de sécuriser le creusage du tunnel sous le Delta (pour remplacer le projet de canal périphérique retardé pendant des années) dans le but de livrer plus d’eau en provenance du Nord de Californie dans la zone de la baie et au sud de la Californie (75% de la population vit dans le sud et 75% de l’eau est au nord), le Metropolitan Water District of Southern de Californie a dû accepter de ne pas augmenter l’utilisation en eau – comme s’il y avait pénurie d’eau en Californie !

Ici, nous avons une illustration de l’environnementalisme Radical qui tente de freiner le développement de l’humanité dans l’État en réduisant l’approvisionnement en eau – bien qu’il y ait plus assez pour tout le monde. Au cœur de la féroce bataille de l’eau en Californie, vieille de plusieurs décennies, s’entrechoquent des visions antagonistes du monde : les uns   disent que les personnes sont plus importantes, d’autres disent que l’environnement l’est plus.

En fait, lorsque le gouverneur Pat Brown, qui était gouverneur de l’État de CA de 1959 à 1967 (le père de l’actuel gouverneur Jerry Brown) a lancé le projet l’aqueduc de Californie il y a plusieurs décennies, les ingénieurs de l’État, avant l’avènement de la religion de l’Environnementalisme Radical avaient triomphé, ils ont conçu l’aqueduc pour transporter trois fois plus d’eau dans le sud de la Californie qu’auparavant. C’est pour dire  que  la compréhension religieuse de l’État a changé entre la période  de son leadership et celui de son  fils. A dire vrai, le gouverneur Jerry Brown a défendu le projet du tunnel du Delta en lieu et place du canal périphérique, que son père avait envisagé dès le départ. Mais ayant accordé du crédit au gouverneur Jerry, son projet de tunnel a beaucoup moins de capacité que le plan initial de son père d’un canal périphérique.

En conséquence, la vision du monde de quelques-uns détermine inévitablement comment les agents publics et la nation dans son ensemble utilise (ou ne parvient pas à utiliser) leurs ressources naturelles pour le progrès des autres. Dans ces conditions ce qui forge votre vision du monde, devient plus important. À la lumière de cela, remarquez ce que Dieu dit dans le premier chapitre de son livre.

 

II.     LA HIÉRARCHIE DE DIEU COMMANDE DE CRÉATION DU MONDE

Genèse 1: 26-31 révèle  des informations importantes sur l’unicité de l’homme. Ici, Dieu distingue l’humanité du reste de sa création. Après avoir créé les cieux, la lumière, la terre, l’atmosphère et la mer, Dieu crée les poissons, les oiseaux et les animaux (Gen. 1 : 1-25). En dernier lieu, il crée homme. Mais remarquez une différence exclusive : Dieu crée l’homme comme aucune autre créature précédemment créée, « à notre image, selon notre ressemblance » déclare Genèse 1:26. ²

Ceci est très  important car on voit   l’homme être placé dans une position différente du reste de l’ordre créé. Les deux mots hébreux, image (tselem) et ressemblance (demuth) portent l’idée que l’homme est un reflet ou une similitude des attributs et caractéristiques transmissibles de Dieu : au sens de l’intellect, des émotions, de la volonté et la moralité. Aucune autre vie créée n’a toutes ces distinctions. Donc l’homme est unique : Tu as tout mis sous ses pieds, 8: 7b. Cela peut être mieux illustré par la barre latérale suivante.

Dieu a placé l’homme dans une position supérieure sur le reste de la création. C’est fondamentalement important car cela laisse apercevoir l’intention de Dieu selon laquelle : le reste de la création doit  servir l’homme. Remarquez la ligne de démarcation par rapport à l’ordre biblique de création.

Comparez cette compréhension de la hiérarchie de la création à d’autres systèmes de croyance. Par exemple en Inde, le Panthéisme³ est à la racine de leurs croyances nationales (ce qui signifie que Dieu est en tout). En conséquence, il n’y a pas de ligne de démarcation dans l’ordre créé, ce qui signifie que le rat a autant de droits sur le maïs dans le placard tout comme l’enfant. En Californie, où la religion, l’environnementalisme Radical règne en maître, cela signifie que le poisson a autant de droits sur la rivière tout comme le constructeur du barrage. Le pompage de l’eau pour les populations est écourté si l’on découvre que les éperlans (poissons mesurant entre 7 et 15 cm) pourraient être aspirés dans une turbine.

Aux yeux de Dieu, l’homme est d’une grande valeur, l’homme règne sur toute la création – et oui, en régnant, il le fait avec respect au Créateur de la création, à qui il doit rendre compte. Oui, il se développe grâce à la vie de l’éperlan, mais en dernier lieu, l’éperlan ne gouverne pas sa vie – il gouverne la vie de l’éperlan. Le regretté apologiste chrétien François Schaeffer a raison lorsqu’il déclare : « Ainsi, la Bible me dit qui je suis. Elle me dit comment je suis différent de toutes les autres choses. Il n’y a pas donc de confusion entre moi et la vie animale. »⁴

L’AGENT PUBLIC BIBLIQUEMENT AVISÉ DOIT DONC GOUVERNER SA PENSÉE À LA LUMIÈRE DE LA HIÉRARCHIERÉVÉLÉE DE LA  CRÉATION DE DIEU

En créant le monde, Dieu attend de l’homme qu’il règne et gère sa création de manière à lui plaire. De peur qu’il y ait de doute au sujet de l’homme comme étant au sommet de l’ordre de la création de Dieu, celui à qui la responsabilité de veiller sur la création a été donnée, le psalmiste ajoute dans le psaume 115 : 16 :

Les cieux sont les cieux de l’Éternel,Mais il a donné la terre aux fils de l’homme.

 

III.    LES GARDIENS DE L’ORDRE DE CRÉATION DE DIEU DU MONDE

Dans la hiérarchie de la création de Dieu, l’homme est au sommet de toute la création et appelé à la dominer et à l’assujettir (Genèse 1 :26 et 28). Remarquez ces mots : dominer et assujettir. Ils définissent comment l’homme doit fonctionner dans son rôle prééminent au sein de la création.

Non seulement qu’il possède une identité unique du fait d’être créé à l’image de Dieu, mais aussi il est chargé de dominer et d’assujettir.

LE CRÉATEUR A PLACÉ L’HOMME COMME LE GARDIEN DE SES PROPRIETÉS

L’homme doit remplir la terre (v.28) et surveiller son fonctionnement en tant qu’intendant. Notez que le mot assujettir ne transmet pas   l’idée d’une mentalité de bulldozer. Ian McHarg, l’un des grands architectes paysagistes au monde, dans son commentaire de Genèse, il déclare en conclusion de sa pensée: « Si jamais il y avait une justification pour une mentalité de  bulldozer, ce verset en est une ». Mais ce que McHarg a échoué à voir est le contexte biblique du passage: L’humanité a des responsabilités d’intendance inhérentes devant son Créateur. Il est établi que ce droit de domination est conféré avant la chute, qui ne se produit pas jusqu’au chapitre 3 de la Genèse. Après la chute, oui, l’homme peut altérer ses responsabilités d’intendances dans un sens contraire à la volonté de Dieu s’il est laissé à son propre sort (c’est pourquoi évangéliser les personnes non sauvées est la tâche la plus importante pour accomplir l’ultime Intendance de la planète). Malheureusement McHarg a choisi d’abandonner les notions bibliques de dominer et d’assujettir, en remplaçant ces concepts et croyant en une autre religion, le panthéisme, serait  la  religion  appropriée pour la gouvernance de la planète. ⁵

Inhérent à sa déclaration dans Genèse 1 :21 et 31 que tout ce qu’il a créé est bon, Dieu espère et continue à espérer que l’humanité ne reconfigurera pas ni ne détruira pas ce qu’il a été remis à sa charge. Plutôt, déclare un commentateur évangélique de premier plan concernant ces passages, ces mots « parlent d’un ordonnancement productif de la terre et de ses habitants à céder ses richesses et accomplir les desseins de Dieu. »

 Ce fut   fondamentalement ce système de pensée biblique qui a accéléré l’émergence des USA comme une nation puissante dans le leadership mondial. L’innovation de Rockefeller de l’utilisation de l’essence, un sous-produit du pétrole lampant, l’innovation de Carnegie de l’usage d’alliage d’acier à partir du fer, l’investissement de Morgan dans la création d’électricité, l’exploitation de l’eau par le barrage de Hoover et son transport par le Metropolitan Water district et l’importation de l’eau par Mulholland à partir de la Sierra Nevada : tous ont donné naissance à l’innovation américaine et la révolution industrielle !

Voici le point : Un tel pouvoir de domination et subordination des ressources naturelles était exercée en grande partie par des hommes chrétiens dont la pensée et les actions étaient éclairées par Genèse 1 ! Une pareille gouvernance fondamentale des ressources naturelles a   donné lieu à l’agriculture moderne, la production d’énergie, le transport, l’architecture et toute autre invention similaire.  La tendance actuelle qui consiste à s’éloigner de cette compréhension biblique, remet radicalement en question le mode de vie américain, notre leadership mondial dans le secteur de l’innovation et même notre qualité de vie.⁶

Ceci est peut-être mieux illustré par une interview épique avec William Gould, l’ancien PDG de Southern California Edison à la retraite et le père du réseau électrique occidental. Gould évoque une réunion au sommet de 1984 avec des leaders environnementaux à Salt Lake Ville, et comment la réunion a pris une autre tournure. Le problème, s’est exclamé l’écologiste ils avaient trop de lois  sur la table  pour entraver le développement des nouvelles centrales électriques. Gould a poursuivi en disant comment le développement de la Centrale Nucléaire San Onoffre était un cauchemar dû aux nombreuses poursuites publiques continuelles. Il a remarqué que la SCE (Southern California Edison) ne tentera jamais un autre projet à cause d’énormes dépassements de coûts associés à l’incertitude de ne jamais pouvoir connecter les lignes électriques. Par la suite, d’autres fournisseurs d’électricité ont quitté l’état pour des pâturages plus verts. Ce fut là le berceau de la crise d’électricité de Californie – une menace de pénurie qui persiste lors des chaudes journées d’été. Aujourd’hui des années plus tard, les écologistes radicaux ont réussi à faire arrêter le moyen le plus efficace de production d’électricité au monde – pourtant plus sûr, et ce malgré les avancées technologiques.

Il est très clair que des pays tel que l’Inde qui possède des ressources naturelles similaires mais prône des croyances différentes, expérimente une témérité incessante.  C’est sur le même chemin que l’Amérique se retrouve en raison de son mépris et son rejet de ce que Dieu clame clairement dans Genèse !

PERMETTRE : AUX POISSONS DE DÉCIDER DE LA CONSTRUCTION DE BARRAGES,  AUX ESPÈCES EN DANGER DE DÉCIDER  DE LA CONSTRUCTION DES CENTRALES ÉLECTRIQUES,  AUX INSECTES DE DÉCIDER DE LA CONSTRUCTION DES HÔPITAUX PUBLICS,  AUX RATS KANGOUROUS DE DÉCIDER DE LA CONSTUCTION DES MAISONS C’EST MANQUER D’EXÉCUTER  LA PROCLAMATION CLAIRE DE DIEU EN GENÈSE

Dieu appelle tous les agents publics et citoyens à marcher dans l’assurance de sa hiérarchie de la création avec une compréhension de notre responsabilité d’intendance.  Écarter la Genèse de la vie des Américains est synonyme à faire rétrograder l’Amérique.

Quand le Metropolitan Water District du sud de la Californie a anticipé sur l’augmentation du stockage d’eau pour assurer la desserte pendant des années de sécheresse (comme ce fut le cas en Californie dernièrement) ils ont dépensé plus de 3 milliards de dollars pour construire le réservoir Diamond Valley qui contient 986 milliards mètres cube d’eau supplémentaires. Une décision de gestion d’eau aussi sage était pour assurer la desserte en eau à 17 millions de personnes qui vivent dans le sud de la Californie. 1 milliard de dollars a fini par être payé pour combattre et apaiser les poursuites des écologistes radicaux qui ont réussi à retarder le projet de 10 ans.⁷ En revanche, au cours de ces dernières années de sécheresse en Californie, ce sont les intraitables écologistes radicaux du comté de Marin qui ont eu à bricoler l’installation des conduits   d’eau à travers Richmond Bridge pour empêcher leurs citoyens de mourir de soif. C’est ce qui se passe, lorsque le sort des espèces prime sur les personnes.

LA FAUSSE RELIGION DE L’ENVIRONNEMENTALISME RADICAL CONDUIT À LA PAUVRETÉ HUMAINE ET A  L’INSOLVABILITÉ CULTURELLE

Bien-aimé, ce n’est pas une très bonne religion   sur laquelle le pays peut être érigé ! Les problèmes de l’Amérique ne sont pas tellement enracinés dans le manque de créativité, des marchés, ou moyens de transport aussi longtemps qu’ils sont en phase avec des croyances religieuses contraires à la religion de l’environnementalisme. La charte organisationnelle de la religion chrétienne relative à la création n’est pas aberrante.

 

IV.     LA RÉCOLTE DE LA CRÉATION DE DIEU COMMANDE DU MONDE

Poursuivons dans le premier chapitre de la Genèse, les versets 29 et 30 révèlent spécifiquement que le but de Dieu en créant le monde était pour l’amélioration et le plaisir de l’homme. Plus précisément, les plantes, les animaux, les oiseaux et chaque chose en mouvement ont été créés par Dieu pour servir de nourriture à l’homme. Sans l’aide des Écritures on pourrait supposer que c’est une manière égocentrique et outrancière pour l’homme de voir d’autres êtres vivants partageant la même planète que lui. Certainement c’est la conclusion de ceux qui rejettent l’inspiration et l’autorité de la Parole de Dieu ; il est facile de voir le chemin pouvant mener à une telle conclusion en dehors de la Parole de Dieu !

Mais Dieu rassure l’homme au verset 31 que non seulement sa création et sa hiérarchie étaient très bons mais aussi ce qu’Il a créé devrait servir de nourriture multivariée à l’humanité.

L’HOMME N’A PAS BESOIN DE SE SENTIR COUPABLE PARCE QUE SON AMBITION POUR UNE VIE AGRÉABLE   N’EST PAS DE L’ARROGANCE ; C’EST UNE RÉVÉLATION !

En face de l’anthropologie d’effacement d’Écologisme radical, les Écritures clairement proclament la supériorité de l’homme sur le reste de la créature dans le monde. Encore une fois, Psaume 115 : 16 déclare : Mais il a donné la terre aux fils de l’homme.  1Timothée 4 : 1- 4 fustige ceux (et leur religion) qui ne parviennent pas à comprendre la volonté de Dieu à ce sujet qui le déclare puissamment.

Mais l’Esprit dit expressément que, dans les derniers temps, quelques-uns … s’abstenir d’aliments que Dieu a créés pour qu’ils soient pris avec actions de grâces par ceux qui sont fidèles et qui ont connu la vérité. Car tout ce que Dieu a créé est bon, et rien ne doit être rejeté, …

 

V.      CONCLUSION

Dieu est content quand les substances organiques et inorganiques, les moindres de la création, sont utilisées au profit de ceux qu’il a créés uniquement à Son image. Inversement, il est très mécontent quand les humains exaltent sa création de manière inappropriée et l’adore à son mépris.  Romains 1 : 21-25 souligne ceci :

Puisque ayant connu Dieu, ils ne l’ont point glorifié comme Dieu… vantant d’être sages, ils sont devenus fous ; et ils ont changé la gloire du Dieu incorruptible en images représentant l’homme corruptible, des oiseaux, des quadrupèdes, et des reptiles. C’est pourquoi Dieu les a livrés à l’impureté, selon les convoitises de leurs cœurs ; en sorte qu’ils déshonorent eux-mêmes leurs propres corps ; eux qui ont changé la vérité de Dieu en mensonge, et qui ont adoré et servi la créature au lieu du Créateur, …

Dans plusieurs enseignements bibliques, l’adoration de la création de Dieu au lieu de Dieu lui-même est considérée comme une déraison. Dieu a des mots durs pour ceux qui se vantent d’être sages avec une idéologie non éclairée bibliquement Mon ami, ne sois pas compté parmi ces personnes. Si tu l’es, mon ami, viens à Christ ! Je vois trois conclusions très applicables à la vie d’un agent public à la suite de cette étude :

A.     DIEU EST PRO-HUMANITÉ

Le Dieu de la Bible est pro-humanité. Il nous aime et veut nous bénir. C’est pourquoi Il nous a donné une planète pleine d’abondantes ressources naturelles ! C’est vrai que la chute a fait que ces ressources naturelles soient plus difficiles à servir pour notre bien, mais néanmoins il ne nous les a pas ôtées. La religion de l’environnementalisme radical d’autre part est anti-humanité. Dans leur perception déformée, dépourvue de volonté à reconnaître, servir et adorer Dieu, il ne leur reste rien d’autre que le monde physique dans lequel ils se trouvent.  Pour se persuader qu’ils sont moralement plus évolués, ils alimentent leur croyance en une   religion déterminée à empêcher l’homme à avoir accès à ce que Dieu a prévu pour son épanouissement.

B.     IL Y A UN GRAND INTÉRÊT POLITIQUE A S’IMPRÉGNER DE LA COMPRÉHENSION DE LA GENÈSE

Il y a beaucoup d’intérêts politiques à s’imprégner de l’ordre de création de la Genèse. C’est important de communiquer à travers vos actions et vos registres de votes que les gens sont plus importants et valent plus que toute autre chose dans votre localité – plus que des objets animés et inanimés à la fois – car en fin de compte, seuls les êtres humains ont le droit de voter. (au moins à ce stade de l’histoire américaine, les poissons ne peuvent pas voter). Optez pour l’épanouissement des gens ordinaires au lieu de chercher le bien d’un membre de la « Classe des illuminés » qui prive les gens de leur désir de gagner leur vie et forger une vie meilleure.

C.     DES CONSÉQUENCES DÉMOGRAPHIQUES ET POLITIQUES TERRIBLES NOUS ATTENDENT SUR LE CHEMIN DE L’ENVIRONNEMENTALISME RADICAL

Il convient de noter les conséquences démographiques de l’environnementalisme radical. Ceux qui défendent cette position ont tendance à n’avoir eu qu’un seul enfant, si c’est le cas, pendant les deux dernières décennies.  En conséquence :

LE COMBAT   DES ENVIRONNEMENTALISTES RADICAUX EST SEMBLABLE AU SUICIDE ETHNIQUE – APPELONS CELA LE SUICIDE IDÉOLOGIQUE.

Ceux qui croient en la vérité biblique de multiplier et de remplir la terre ont continué à avoir des familles nombreuses. On estime que le dernier groupe d’affinité idéologique a surpassé le premier groupe de six millions d’enfants depuis l’avènement de l’environnementalisme radical en Amérique au cours des deux dernières décennies. Ces six millions d’enfants sont en train d’atteindre maintenant le statut de vote, autrement dit, les jeunes Américains éduqués avec une vision chrétienne du monde seront bientôt plus nombreux que les enfants d’écologistes radicaux d’au moins six millions d’électeurs aux prochaines élections. En effet, la vérité scripturaire que vos péchés vous atteindront, bientôt va s’accomplir à travers le pays. Espérons que la religion de l’environnementalisme radical sera bientôt reléguée au statut de minorité marginale dans la  société américaine. Amen.cm

 

 

¹         1 Selon les statistiques du Metropolitan Water District de Californie du Sud.

²        Les mots « nous » et « notre » dans ce passage sont révélateurs de la nature trinitaire de Dieu (cf. Deut. 6:4).

³        Schaeffer, Francis, Genesis in Space and Time (Grande-Bretagne : Hodder and Stroughton Limited, 1972), p. 51

⁴         McHarg, Ian L., Design with Nature (Garden City : New York, Doubleday/Natural His­tory Press, 1971), p. 68.

⁵         Insight Magazine; Spring, 2001

⁶        Je trouve intéressant que les environnementalistes radicaux, lorsque l’opportunité de stocker l’eau potable de la région de la baie de Californie dans un nouveau réservoir proposé près du lac Shasta dans la partie nord de l’État, afin de faciliter la déconstruction du réservoir Hetch Hetchy barrage dans la Sierra Nevada, qu’ils ont refusé la proposition parce que l’eau du HHR et l’électricité ne coûtent rien actuellement rien à la Bay Area ! C’est-à-dire que lors de la restauration de l’environnement a un coût personnel, ils semblent prompts à abandonner leur idéologie.