Rejeter la Doctrine du Péché
Télécharger l’étude BibliqueLes Écritures montrent clairement que l’humanité est tombée dans le péché. En fait, Dieu a ordonné l’institution gouvernementale principalement pour contenir la nature pécheresse de l’humanité ; c’est la principale raison pour laquelle le gouvernement existe ! À croire le contraire, que l’homme est fondamentalement bon, c’est vivre dans l’ignorance de la vérité biblique.
« Je vous ai écrit ces choses, afin que vous sachiez que vous avez la vie éternelle, vous qui croyez au nom du Fils de Dieu. » 1 Jean 5:13
Le regretté Francis Schaeffer, dans son ouvrage classique, Comment devrions-nous alors vivre ? Parle de la célèbre statue de David, une œuvre réalisée par Michelangelo, située en Florence, en Italie, qu’elle serait la quintessence artistique de l’idéologie humaniste qui suppose que l’homme est fondamentalement bon. Il ironise : « Si une femme devait attendre pour épouser une statue vivante de David, elle ne se marierait jamais ».1 La statue de Michelangelo, à ne pas confondre avec le vrai David biblique, représente la croyance humaniste que l’humanité va éventuellement atteindre la perfection. Mais les humanistes ont tort.
Alors que l’État islamique massacre des hommes, des femmes et des enfants innocents et non armés aux États-Unis et dans d’autres pays, nous sommes naïfs de penser que le monde deviendra meilleur grâce à la raison. Ce ne sera pas ainsi. Dieu a ordonné le gouvernement d’être une force pour réprimer le mal.
I. INTRODUCTION
On ne saurait trop insister sur la nécessité d’une bonne compréhension de la notion du péché par les autorités gouvernementales. Non seulement l’enseignement des Écritures sur ce sujet se rapporte spécifiquement à la vie personnelle de chacun, mais il est fondamental dans le cadre professionnel de chacun en tant que décideur politique et responsable de l’application de la loi. Pouvez-vous réfléchir savamment aux réponses bibliques des questions suivantes ?
- Comment expliquez-vous la double nature de l’humanité ?
- Le péché infecte-t-il et affecte-t-il plus que l’individu ?
- Le péché infecte-t-il et affecte-t-il le monde entier ?
Une compréhension biblique précise et éclairée du péché vous aidera à répondre à ces questions. Il est important de savoir que le regard que vous portez sur le monde et le rôle du gouvernement fait partie intégrante de la formation d’une vision chrétienne du monde.
MAL DIAGNOSTIQUER UNE MALADIE, C’EST ECHOUER A LA TRAITER.
Dans ce chapitre, nous nous concentrerons sur ce que la Bible enseigne sur la dépravation totale de l’humanité – la doctrine du péché. Dans la mesure où il y a de nombreux passages sur ce sujet dans les Écritures, je voudrais me concentrer sur les aspects que Je pense être les plus pertinentes non seulement pour votre vie personnelle, mais aussi pour votre réflexion sur les politiques publiques : comment une bonne compréhension biblique de la notion du péché peut-elle éclairer et influencer votre pensée ?
Nous explorerons d’abord une définition biblique précise du péché, puis nous passerons à son origine. Une fois que nous avons établi ces prémisses fondamentales, nous allons nous tourner vers ses manifestations, du péché individuel au péché collectif, national.
II. DEFINITION DU PECHE
Lorsque vous discutez de ce que la Bible enseigne sur le péché et du fait que nous vivons dans un monde déchu, une compréhension précise de ce que cela signifie et ne signifie pas est d’une importance cruciale.
J’aime la tentative de définition du théologien conservateur Wayne Grudem : « Le péché est tout manquement à se conformer à la loi morale de Dieu en acte, attitude ou nature ».2Le Sermon sur la montagne montre à maintes reprises que le péché est plus que la conformité extérieure aux normes morales de Dieu ; cela implique aussi des attitudes qu’une personne peut avoir. Par exemple, dans Matthieu 5:22 la colère est considérée comme un péché ; au verset 28, la luxure l’est aussi. De plus, alors que nous « étions par nature des enfants de colère » (Éphésiens 2:3), Dieu accorde une nouvelle nature au croyant au moment du salut et attend de nous que nous vivions selon notre nouvelle nature (cf. 2 Corinthiens 5:17 ; 2 Pierre 1:4).
Le péché est plus que l’égocentrisme. Je me souviens d’un de mes amis alpinistes dans la tente à côté de la mienne au milieu de la nuit, lors d’une énorme tempête de trois jours à dix-huit mille pieds d’altitude, me demandant de l’aider à mémoriser certaines Écritures Bibliques. À moitié endormi, avec des courtes respirations froides, ma première pensée fut : « Comme c’est égoïste de sa part ! » Oui, il était égoïste, mais il exprimait une bonne forme d’égoïsme. En réalité, avoir beaucoup d’intérêt personnel est approuvé dans les Écritures Bibliques. Quand nous cherchons à grandir dans notre sanctification ou à « discipliner [notre] corps et d’en faire [notre] esclave » (1 Corinthiens 9:27), nous agissons par des désirs égoïstes. Pourtant, Dieu approuve de tout cœur de telles choses ! Ce sont des bons désirs égoïstes. De même, le dévouement altruiste d’une personne à une fausse religion ne plaira pas à Dieu et encore moins atteindre les normes de Dieu d’un style de vie sans péché. En un mot, L’égoïsme n’est donc pas une bonne définition du péché.
Le péché doit être défini comme Dieu le définit dans Sa Parole. Une autre façon de comprendre le péché est la suivante : tout chose inhabituelle à Dieu qui est présente en nous est péché. Le mot grec pour « péché » (hamartia) signifie « manquer le but ». Le péché, c’est manquer le but des actes, attitudes et nature parfaits de Dieu. Il n’est donc pas étonnant que Paul déclare en Romains 3:23, Tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu.
III. ORIGINE DU PECHE
Le péché était présent dans le monde angélique avant la création et la chute de l’homme. En témoigne le fait que Satan et ses démons se sont rebellés et ont été chassés du ciel (cf. Ésaïe 14:12ff ; Ézéchiel 28:11-19 ; Luc 10:18) avant la création et la chute de l’homme dans Genèse 1 et 3 respectivement. Le péché est alors entré dans le monde nouvellement crée par la désobéissance d’Adam et Eve dans le jardin (Genèse 3:1–19). Eve et Adam avaient chacun une confiance en soi au-dessus de la confiance en ce que Dieu leur avait spécifiquement commandé d’observer. Ils pensaient connaitre mieux que Dieu, se plaçant essentiellement au-dessus de Dieu et de Ses voies (Genèse 3:5), et en se promouvant de manière rebelle à Sa position de souveraineté et d’autorité.
IV. MANIFESTATION DU PECHE CHEZ L’INDIVIDU
La Bible est claire que le péché d’Adam s’est propagé à chaque individu dans toute l’humanité. Encore une fois, Paul déclare dans Romains 3:23 « Car tous ont péché », le psalmiste déclare, « Tous sont égarés, tous sont pervertis ; Il n’en est aucun qui fasse le bien, Pas même un seul. » (Psaume 14:3), et Salomon ajoute « Non, il n’y a sur la terre point d’homme juste qui fasse le bien et qui ne pèche jamais » (Ecclésiaste 7:20). Cette situation existe parce que le péché est hérité d’Adam. Paul l’explique de cette façon dans Romains 5:12 :
« C’est pourquoi, comme par un seul homme le péché est entré dans le monde, et par le péché la mort, et qu’ainsi la mort s’est étendue sur tous les hommes, parce que tous ont péché, … »
Plus tard, Paul ajoute au v. 18, parlant d’Adam et de Jésus respectivement :
« Ainsi donc, comme par une seule offense la condamnation a atteint tous les hommes, de même par un seul acte de justice la justification qui donne la vie s’étend à tous les hommes. »
Dans Romains 5:19, Paul ajoute cette référence à l’œuvre du Christ sur le Calvaire :
« Car, comme par la désobéissance d’un seul homme beaucoup ont été rendus pécheurs, de même par l’obéissance d’un seul beaucoup seront rendus justes. »
La meilleure façon d’y penser est que dans le jardin, Adam représentait toute la race humaine à venir. Est-ce Injuste ? Dieu est Dieu et c’est l’économie qu’Il a choisie.
SI NOUS PENSONS QUE L’IMPUTATION DU PECHE D’ADAM EST INJUSTE, ALORS NOUS DEVONS AUSSI PENSER QUE L’IMPUTATION DE LA JUSTICE DU CHRIST EST INJUSTE.
Les Écritures enseignent l’imputation à la fois du péché et de la justice : la première par naissance en tant que descendants d’Adam, et la seconde par la foi. Notez les passages suivants : David résume mieux le péché individuel inhérent dans le Psaume 51:5 :
« Voici, je suis né dans l’iniquité, Et ma mère m’a conçu dans le péché. »
Paul enseigne l’imputation de la justice par la foi en Romains 3:21-22 :
« Mais maintenant, sans la loi est manifestée la justice de Dieu, …justice de Dieu par la foi en Jésus Christ pour tous ceux qui croient. Il n’y a point de distinction ».
Par ailleurs, chaque partie de l’être humain a été infectée et affectée par le péché. Du fait que, l’humanité possède une nature pécheresse inhérente, nous avons une prédilection au péché et à le commettre. Créés à l’image de Dieu – ce qui explique toute bonté que nous pourrions avoir – nous sommes néanmoins tombés, justifiant ainsi notre double nature d’une manière qu’aucune autre philosophie ne le peut. L’idéalisation humaniste de la statue de David en homme parfait exprime, une impulsion à saisir quelque chose qui ne peut tout simplement pas être.
À TRAVERS LES AGES DEPUIS LA CHUTE, LES HUMAINS ONT PORTE L’EMPREINTE D’IMAGO DEI, OU L’IMAGE DE DIEU, A COTE DE CELLE HERITEE DE LA NATURE DU PECHE.
La chute n’a seulement pas affecté les âmes des êtres humains ; plus encore, le monde entier a été affecté. Ce qui revêt une importance cruciale c’est le fait que : l’autorité gouvernante d’une nation doit avoir une compréhension convaincante de la théologie pas seulement du péché individuel, mais aussi du péché collectif.
V. MANIFESTATION DU PECHE DANS LE MONDE
L’effet du péché sur le monde entier est aussi important que celui-ci au niveau personnel. De nombreux passages parlent de la manifestation du péché dans le monde, déclarant que le monde entier est tombé, contrairement au fait de définir strictement le péché dans le contexte individuel. Cependant, de nombreux théologiens conservateurs s’arrêtent au péché individuel et ne développent pas le concept du péché collectif.
Le théologien conservateur Millard Erickson le dit mieux :
La Bible enseigne que le mal a un statut en dehors et indépendant de toute volonté humaine Individuelle, sa propre subsistance… Nous appelons occasionnellement cette réalité « le monde » [kosmos].3
Le théologien Sasse ajoute que le mot grec kosmos est souvent utilisé dans les Écritures en juxtaposition avec le royaume de Dieu, c’est-à-dire que le monde est utilisé par les auteurs de la Bible pour dépeindre l’incarnation même du mal.4
A. REFERENCES FONDAMENTALES
Cette idée expansive des conséquences non seulement individuelles mais aussi collectives de la chute se voit immédiatement après la chute. Remarquez la réponse de Dieu à Adam et Ève dans Genèse 3:17b – 19a:
« Le sol sera maudit à cause de toi. C’est à force de peine que tu en tireras ta nourriture tous les jours de ta vie, il te produira des épines et des ronces, et tu mangeras de l’herbe des champs. C’est à la sueur de ton visage que tu mangeras du pain, jusqu’à ce que tu retournes dans la terre. »
La chute d’Adam et Eve ne les a pas seulement maudits eux, mais aussi la terre entière. Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi rien n’est facile dans cette vie ? C’est difficile de gagner sa vie. Il est difficile de bien manger. Il est difficile de rester en forme ! Il est difficile de garder le gouvernement sur la bonne voie ! Tout illustre parfaitement Genèse 3. Jusqu’au retour du Christ, l’humanité existe dans un état déchu, à la fois dans des contextes individuel et collectif. La deuxième loi de la thermodynamique, l’entropie, a vu le jour avec la chute : tout se meut constamment vers le désordre, pas la perfection.
B. REFERENCES FONCTIONNELLES
Partant de Genèse 3 au NT, les passages suivants documentent sur le concept de la chute universelle dans l’AT, ou du péché collectif, à travers l’usage du mot monde :
- Jean 7:7
« Le monde ne peut vous haïr ; moi, il me hait, parce que je rends de lui le témoignage que ses œuvres sont mauvaises. »
- Jean 15:18-19
« Si le monde vous hait, sachez qu’il m’a haï avant vous. Si vous étiez du monde, le monde aimerait ce qui est à lui ; mais parce que vous n’êtes pas du monde, et que je vous ai choisis du milieu du monde, à cause de cela le monde vous hait. »
- Jean 17:14
« Je leur ai donné ta parole ; et le monde les a haïs, parce qu’ils ne sont pas du monde, comme moi je ne suis pas du monde. »
- 1 Corinthiens 1:21
« Car puisque le monde, avec sa sagesse, n’a point connu Dieu dans la sagesse de Dieu, il a plu à Dieu de sauver les croyants par la folie de la prédication. »
- Jean 17:25
« Père juste, le monde ne t’a point connu ; mais moi je t’ai connu, et ceux-ci ont connu que tu m’as envoyé. »
- Jean 1:10-11
« Il était dans le monde, et le monde a été fait par Lui, et le monde ne Le connaissait pas. Il est venu à Son et ceux qui étaient les siens ne l’ont pas reçu. »
- Colossiens 2: 8
« Prenez garde que personne ne fasse de vous sa proie par la philosophie et par une vaine tromperie, s’appuyant sur la tradition des hommes, sur les rudiments du monde, et non sur Christ. »
- Jean 8:23
Et il leur dit : « Vous êtes d’en bas ; moi, je suis d’en haut. Vous êtes de ce monde ; moi, je ne suis pas de ce monde. »
- Jean 18:36
« Mon royaume n’est pas de ce monde, répondit Jésus. Si mon royaume était de ce monde, mes serviteurs auraient combattu pour moi afin que je ne fusse pas livré aux Juifs ; mais maintenant mon royaume n’est point d’ici-bas »
- Jacques 1:27
« La religion pure et sans tache, devant Dieu notre Père, consiste à visiter les orphelins et les veuves dans leurs afflictions, et à se préserver des souillures du monde. »
- 1 Jean 2:15-17
« N’aimez point le monde, ni les choses qui sont dans le monde. Si quelqu’un aime le monde, l’amour du Père n’est point en lui ; car tout ce qui est dans le monde, la convoitise de la chair, la convoitise des yeux, et l’orgueil de la vie, ne vient point du Père, mais vient du monde. Et le monde passe, et sa convoitise aussi ; mais celui qui fait la volonté de Dieu demeure éternellement. »
- 1 Jean 5:4-5
« Parce que tout ce qui est né de Dieu triomphe du monde ; et la victoire qui triomphe du monde, c’est notre foi. Qui est celui qui a triomphé du monde, sinon celui qui croit que Jésus est le Fils de Dieu ? »
Millard Erickson dit à propos de l’usage biblique du mot monde que:
« LE MONDE REPRESENTE UNE FORCE ORGANISEE, UN POUVOIR OU UN ORDRE QUI FAIT CONTREPOIDS AU ROYAUME DE DIEU ».5
Il ressort clairement de l’usage du mot monde dans tous ces passages que le péché a infecté et affecté et les individus et la terre dans son ensemble.
VII. APPLICATION DE CET ENTENDEMENT
A. CHEZ L’INDIVIDU
1 Jean 1:9 rassure les croyants : « Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner, et pour nous purifier de toute iniquité ». Le croyant doit marcher avec une conscience claire, en gardant son compte de péché à jour avec Christ. Autrement dit, on ne peut pas marcher dans la puissance et le contrôle du Saint-Esprit et en même temps nullifier continuellement l’œuvre sanctifiante du Saint-Esprit. Chaque fois que le Saint-Esprit condamne votre conscience, vous devez lui confesser immédiatement vos mauvais actes afin de demeurer rempli et habilité par le Saint-Esprit. Agir autrement, c’est court-circuiter L’Habilité intérieure du Saint Esprit. Gardez une courte laisse sur votre péché ; continuez de l’effacer de votre vie et ainsi maximisez le potentiel que Dieu a prévu dans votre ministère ! C’est tout à fait normal pour les croyants de vaincre le péché dans leur vie personnelle.
B. AU MONDE
Le concept Biblique du péché collectif est un domaine particulièrement important pour les leaders politiques et leur formation politique. Les Fonctionnaires Publics doivent voir le monde à travers les yeux des Écritures : que l’humanité est déchue et que le gouvernement est destiné par Dieu à réprimer le mal dans le monde, comme nous le voyons dans Romains 13:1-8 et 1 Pierre 2:13-14. Le gouvernement est une manifestation de la grâce restrictive de Dieu dans un monde déchu. Cette compréhension hamartiologique (l’hamartiologie est l’étude du péché) peut radicalement façonner une nouvelle compréhension de votre rôle au sein du gouvernement.
Voir le monde comme naturellement bon et ayant besoin de vos aptitudes de raisonnement ou des miennes, comme si d’autres viendraient à conclure de faire ce qui est bien quand ils seraient convaincus intellectuellement, est une façon naïve et imprudente de voir le monde, et mieux encore regarder le monde au travers de lunettes roses. Les troubles que nous avons récemment connus à travers le monde ne servent qu’à illustrer l’hypothèse selon laquelle si elle n’est pas contenue par des gouvernements forts et déterminés à la réprimer, la nature déchue du péché de l’homme prendra le dessus sur la société. Les gouvernements et leurs dirigeants doivent constamment envoyer le message à leurs citoyens que le péché sera puni. Quand j’entends parler les dirigeants qui essayent de raisonner les terroristes qui croient que leur divinité leur commande de nous tuer, cela me rappelle Mark Twain qui a dit : essayer d’apprendre à un cochon à chanter : vous fait perdre du temps et agace le cochon.
Que cela parvienne au cœur de votre entendement en tant que leader ordonné par Dieu à servir dans le gouvernement. Que vos convictions soient basées sur une compréhension solide de la notion du péché fondée sur les Ecritures. Que la naïveté humaniste prenne fin dans toutes les branches du gouvernement.
VII. CONCLUSION
Ne vous y trompez pas : l’humanité est totalement dépravée dans son essence. Une Amérique dirigée par l’idéologie de l’humanisme devient de plus en plus chaotique, alors qu’une Amérique dirigée par des leaders qui comprennent la doctrine biblique du péché deviendra de plus en plus pacifique. Cela apparait clairement dans les Écritures et l’histoire.
Il existe un chemin clair vers la paix que nous recherchons dans notre nation, et ce chemin est éclairé par la Parole de Dieu. La paix sociale que nous recherchons commence en nous en tant qu’individus, au moment où nous recherchons la piété dans tout ce que nous faisons. La Parole de Dieu peut-elle nous aider à surmonter les luttes et péchés personnels et mûrir dans nos relations ? Dans le volume 2, partie III, nous examinerons la poursuite de la piété dans la fonction publique. Nous verrons à quoi ressemblent la croissance et la maturité spirituelles, ainsi que comment faire face aux tentations qui « nous enveloppent si facilement » ? (Hébreux 12:1)